“La solidarité en action : 9 500€ reversés dans la lutte contre le cancer du sein”
Sein Geniès Rose
le Mardi 01 Juillet 2025 à 17h22
Sein Geniès Rose continue sa mobilisation dans le cadre de la campagne nationale Octobre Rose. Partenaire de l’institut du Cancer de Montpellier ainsi que de l’association Etincelle Occitanie, notre investissement humain et financier leur est totalement dédié.
300€ pour maintenir notre soutien dans l’ensemble des ateliers de soins de support portés par Etincelle Occitanie, maison d’accompagnement.
9 200€ pour soutenir un travail de recherche sur le cancer du sein triple négatif, connus pour être associés à des critères de moins bon pronostic. Aujourd’hui, presque systématiquement, une chimiothérapie est souvent réalisée avant la chirurgie appelée une chimiothérapie néo-adjuvante. Cela permet de traiter rapidement la maladie, mais aussi d’évaluer la réponse du cancer à la chimiothérapie. Une moins bonne réponse à celle-ci est un critère de moins bon pronostic.
Depuis 2021, en plus de la chimiothérapie, une immunothérapie, dont le but est de stimuler le système immunitaire afin qu’il détruise les cellules cancéreuses. Le cancer du sein triple négatif est le seul type de cancer du sein dans lequel l’immunothérapie a fait la preuve de son efficacité. Pourtant, dans 35 % des cas, la réponse de la tumeur à la chimio-immunothérapie reste insuffisante.
Les oncologues le Dr BOBRIE Angélique et le Dr GAU Sophie de l’ICM, avec l’unité INSERM U1194 de l’IRCM dirigée par le Dr Nathalie BONNEFOY avec l’équipe du Dr Henri-Alexandre MICHAUD, travaillent sur deux axes concernant la relation entre le système immunitaire et le cancer du sein triple négatif :
1) Analyse des cellules immunitaires qui sont présentes dans ou autour de la tumeur grâce à des techniques récentes qui permettent de prendre en compte un grand nombre de paramètres afin de quantifier les cellules immunitaires, de caractériser leur état d’activation, leur répartition spatiale au sein de la tumeur et les interactions qu’elles ont entre elles.
2) Analyse de la réponse immunitaire induite par la chimio-immunothérapie néo-adjuvante dans le sang des patientes afin d’identifier des marqueurs immunitaires qui permettraient de prédire le plus tôt possible les patientes qui ne vont pas présenter une bonne réponse au traitement. Nous voudrions chez ces patientes déterminer quels sont les mécanismes de résistance afin de pouvoir par la suite trouver de nouvelles pistes thérapeutiques.
Par ce don, l’association affirme son engagement aux côtés de la recherche contre le cancer du sein.
300€ pour maintenir notre soutien dans l’ensemble des ateliers de soins de support portés par Etincelle Occitanie, maison d’accompagnement.
9 200€ pour soutenir un travail de recherche sur le cancer du sein triple négatif, connus pour être associés à des critères de moins bon pronostic. Aujourd’hui, presque systématiquement, une chimiothérapie est souvent réalisée avant la chirurgie appelée une chimiothérapie néo-adjuvante. Cela permet de traiter rapidement la maladie, mais aussi d’évaluer la réponse du cancer à la chimiothérapie. Une moins bonne réponse à celle-ci est un critère de moins bon pronostic.
Depuis 2021, en plus de la chimiothérapie, une immunothérapie, dont le but est de stimuler le système immunitaire afin qu’il détruise les cellules cancéreuses. Le cancer du sein triple négatif est le seul type de cancer du sein dans lequel l’immunothérapie a fait la preuve de son efficacité. Pourtant, dans 35 % des cas, la réponse de la tumeur à la chimio-immunothérapie reste insuffisante.
Les oncologues le Dr BOBRIE Angélique et le Dr GAU Sophie de l’ICM, avec l’unité INSERM U1194 de l’IRCM dirigée par le Dr Nathalie BONNEFOY avec l’équipe du Dr Henri-Alexandre MICHAUD, travaillent sur deux axes concernant la relation entre le système immunitaire et le cancer du sein triple négatif :
1) Analyse des cellules immunitaires qui sont présentes dans ou autour de la tumeur grâce à des techniques récentes qui permettent de prendre en compte un grand nombre de paramètres afin de quantifier les cellules immunitaires, de caractériser leur état d’activation, leur répartition spatiale au sein de la tumeur et les interactions qu’elles ont entre elles.
2) Analyse de la réponse immunitaire induite par la chimio-immunothérapie néo-adjuvante dans le sang des patientes afin d’identifier des marqueurs immunitaires qui permettraient de prédire le plus tôt possible les patientes qui ne vont pas présenter une bonne réponse au traitement. Nous voudrions chez ces patientes déterminer quels sont les mécanismes de résistance afin de pouvoir par la suite trouver de nouvelles pistes thérapeutiques.
Par ce don, l’association affirme son engagement aux côtés de la recherche contre le cancer du sein.
